-Maria...Tu es un élément très efficace de la famille...Le fait que tu veuille nous quitter m'attriste profondément tu sais ? J'écoutais ce gros homme devant sa platrée de spaghettis discourir pour mon départ sans broncher. La nappe rouge qui lui servait de serviette ou de bavoir, voyez ça comme vous voulez, était couverte de sauce tomate qui aurait pu tacher son smoking blanc qui le grossissait encore plus qu'il ne l'était déjà.
La fermeture de Sadismus m'avait beaucoup changée. J'avais sombré dans le banditisme. Sans changer de look j'avais allumé un grand brasier avec mes souvenirs du 3ème Reich dans une forêt non loin du camp où j'avais travaillé. Oui je l'avoue je suis retournée à mes racines pour y trouver le vide...J'ai ensuite pu enterrer mes anciens soucis et aujourd'hui je suis devenue plus costaud.
-Ne vous inquiètez pas Don Padrino, je ne dirais rien. Je veux juste...-Chercher tes amis de la prison. Je comprends...Va...~[...]~
Me voilà devant le pont levis de la prison. J'entre et va vers la chambre qui m'était destinée...Chambre 1.