Cendres et Flammes
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Cendres et Flammes

Un univers carcéral violent et sans limites où les prisonniers n'ont plus aucun droit.
 
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 Est-ce toi le Nouveau Loup? [PV SIMON]

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Bella Hope
223 022 L’inoffensive
Bella Hope


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MessageSujet: Est-ce toi le Nouveau Loup? [PV SIMON]   Est-ce toi le Nouveau Loup? [PV SIMON] Icon_minitimeSam 17 Jan - 3:31

Je n’aime pas ce genre de matin. J’ai juste ouvert les yeux deux secondes et ça m’a suffit pour me dire, que ce sera l’une de ses journées. Où j’aurais ce sentiment au fond du cœur, celui qui me rend « mal » et qui me ramène toutes les blessures à la figure. Ca ne m’était plus arrivé depuis que j’ai retrouvé Etoile. Loger au creux de ses bras, je m’éveille doucement. Le cœur serrer, nausées, mal être. Et c’est partit pour une journée pleine de… Joie de vivre. Noter l’ironie. Je sens sa respiration sur ma nuque, son ventre collé contre mon dos et ses bras m’entourant la taille, elle respire paisiblement et semble dormir bien profondément. Je me retourne alors vers elle avec douceur. La regarder dormir est une chose que j’aime beaucoup faire. Je dépose un léger baiser sur ses lèvres avant de me lever sans bruit, de m’habiller et de sortir de ma cellule. Les portes sont ouvertes depuis une demi-heure et quelques uns d’entre nous sont déjà sortis. Pourtant il est encore tôt.

Il fait assez froid. Vêtue de mon tee-shirt à manche longue de prisonnier et d’une veste, je sens la fraicheur du matin transpercer sans peine le tissu. Pourtant, le ressentis ne me fait rien. Je ne saurais l’expliquer. Je me lève avec cette sensation d’être morte de l’intérieur. Plus rien ne compte…A chaque battement je sens mon cœur se serrer douloureusement. Les nausées redoublent d’intensités, pourtant je sais que je ne rejetterais rien. Et je ne sais pas pourquoi, mais la vue de quiconque me fous les nerfs en l’air. Tout le monde m’insupporte aujourd’hui… Absolument tout en faite. Sauf Elle…et Yoruichi si elle était encore là. Mes pensées reviennent aussitôt sur sa personne. Je me souviendrais toujours de cette journée où j’ai vu ton corps mort sur cette table froide. Ta main dépassais du drap…Je l’ai soulevé. De suite, ton visage blafard me hante et me percute, ce qui n’arrange pas mon humeur d’aujourd’hui. Vivre sans la personne qui vous complète, c’est vivre sans une partie de soi. Et là, on ne parle plus de vivre, mais de survivre. Un sentiment qui me bouffe l’intérieur des entrailles chaque jour passé à respirer. As-tu pensée que je ne pourrais tenir sans toi ? Oui sûrement… Bordel, j’ai envie de te frapper. Même morte je te frapperais pour ton geste. Je te hurlerais dessus de m’avoir abandonné parmi Eux. L’Agneau égaré en forêt, entouré de la meute de Loup. Sans Toi, je ne prends plus le même gout à me lever le matin et encore moins, à vivre ma journée.

Je vagabonde à droite, à gauche, sans but précis. J’me sens mal. J’ai envie de faire une connerie. Ouais une grosse connerie. Genre j’me rebelle…foutaise. Tu sais Yoruichi, j’ai eu vent de ce que tu avais fais avec cette gardienne… Qu’as-tu ressentis lorsqu’elle t’a blessé ? Je suis une des mieux placés pour dire que lorsque la douleur morale est trop intense, on cherche parfois la douleur physique, pensant que sa nous aidera à oublier. Aujourd’hui… Ils sont pour moi ce qu’on appel le « rien ». Aucune importance, comme si ce n’était que des figurants de seconde zone dans une pièce de théâtre et qu’ils sont inutiles. Ne venez pas me faire chier, c’est tout ce que je vous demande. L’envie de… provocation se fait plus présente. Le besoin de me mettre en danger. Pour quoi ? Me prouver une fois de plus que oui je suis bien enfermé ici ? Que j’en ai encore pour un tas d’année ? Et que peut-être je finirais par pourrir ici et mourir comme une pauvre loque que je suis devenue. A ce moment là, je ne pense plus à personne d’autre que moi…et Yoruichi. Le premier qui ose venir perturber ma super méditation…

Je prends la direction du réfectoire, où je passe juste prendre une bouteille d’eau de 50cl… Merci monsieur…Comment déjà ? Ah, je crois que c’est le Latino dont j’ai vaguement entendue parler, pas très loin de ma cellule. Alexandre il me semble… bref qu’importe. Je reprends ma course hors de ce lieu et retrouve Son Souvenir. En faite, c’est comme si j’étais entrain de vivre le seconde enterrement, mais de sa mémoire. Je n’ai pas fais le deuil… Et bien sur à Sadismus, on se contre-fichait de savoir si untel ou untel s’entendais bien avec elle, donc pas le droit d’assister au « vrai »…au revoir. Je n’ai pas eu ce droit, je n’ai pas eu cette occasion. Résultat… J’ai encore l’impression qu’un beau matin tu viendras à la porte de ma cellule, me traitant de Baleine Bleue, me donnant une tape sur le crâne. L’illusion de ton fantôme l’autre jour… Ma sérieusement déboussolée. Est-ce que tu es mieux là où tu es ?...

Et le cœur se resserre et se mord. Un vide, un gouffre. Je n’existe plus mentalement parlant…Oh, je crois que j’me suis perdue dans les couloirs ! Regard à droite, Regard à gauche. Non décidément ce lieu ne me dit rien. Je viens alors m’adosser contre le mur et boire une gorgée d’eau, puis deux. Je pose ma tête contre l’appuie froid et humide, fermant un instant les yeux… Et BAM. Putain j’deviens cinglé. Son Ombre est là, face à moi, la tête baissé, un sourire carnassier aux lèvres. C’est quoi ce délire… Je secoue frénétiquement la tête. Plus rien. Illusion d’un besoin beaucoup trop envahissant. Et le pire de tout, c’est que le simple fait de pensé qu’elle pourrait être en quelque sorte avec moi, augmente l’envie de ne pas obéir aux règles. Danger, adrénaline… mourir ? Des pas approchent, les battements de mon cœur s’accélèrent. Ne venez pas me demander ce qu’il me prend, mais il se peut que parfois le cerveau de l’être humain est un léger… pétage de plomb. Considérer ça comme ça alors.

Un gardien approche… Les ennuies commencent. Je comprends pas parfois le besoin de l’être humain, à vouloir foutre sa merdre. Hallelujah… Je sais même pas ce que je fais. Mes agissements m’étonnent quelque peu. Ca ne me correspond pas. Et je m’en fou.

"Qu’est-ce que tu fous ici ? "

De taille moyenne, pas très épais, avec un air qui ce veut menaçant, il m’aborde comme tel. Bordel, est-ce que c’est compliqué de me laisser réfléchir et me souvenir en paix ?! Et d’abord c’est quoi le ‘ici ‘ ? Et puis merde, tu me gave déjà. Je demandais pas grand-chose, juste que l’on me laisse tranquille. De toute évidence, en tant que gardien t’as pas envie de me laisser « ce luxe ». Bien…

"Qu’est-ce que ça peux te foutre ?"

Première erreur, qui va me couter cher dans la seconde puisque je le vois s’avancer d’un grand pas. Ooh Monsieur Gardien n’est pas content. Calme donc tes ardeurs de feu mon petit… Je prends une grande gorgée d’eau que je lui crache aussitôt à la figure lorsqu’il ne se trouve plus qu’a quelque centimètre de moi. Voilà ! Ca c’est fait…Le problème c’est qu’en voulant jouer les grandes Rebelles des Terres Brulées, j’ai comme l’impression d’avoir oublié pendant l’espace de quelque seconde, ce dont sont capable les hommes. Et celui là ne perds pas de temps. Plaquage au mur, sa respiration saccadée et son haleine fétide du matin sur ma peau. La peur ne se fait pas attendre pour venir au galop frapper à la porte de mon cœur. Beaucoup plus fort que moi, il me serre la gorge enlevant le ceinturon de son pantalon.

Parfois, certains d’entre eux ne prennent pas cinquante ans pour réagir et ce, pour peu de chose. Nous ne sommes que des prisonniers, eux ont tout pouvoir sur nous. Ils peuvent bien nous pendre sans raison, ils ne seront jamais jugé de quoi que se soit… Ils peuvent bien déshabiller une jeune femme et la violer sur place, ils auront raison… Je sens ses mains qui commencent à passer en dessous de mon pantalon. Je me raidis instantanément. Les cauchemars reviennent alors… Les blessures que l’ont m’a affligé dans la prison de remplacement, son corps lourd sur le mien, moi impuissante…subir. Plus jamais. La douleur me tiraille les tripes et le cœur. Je ne VEUX pas qu’il me touche ce salopard. Plus jamais, qui que se soit ! Salisseur de corps et d’âme…Je revois alors le visage d’une Yoruichi souriante et bonne vivante… puis mort et blafard. Sors moi de là je t’en pris… Je me débats, mais une première baffe vient me calmer un instant. Ses doigts s’immiscent sous le tissu… Cauchemar vivant…

STOP. Comme un violent réveille, je viens le mordre sans ménagement dans le cou, lui affligeant un coup de genoux dans ses parties. Je n’ai pas forcément remarqué les larmes coulées le long de mes joues… mais j’ai bien sentis sa peau contre la mienne. Réagir à temps… cette occasion là ne m’avait pas été donné la dernière fois. Maintenant si… et te voilà couché à terre pauvre larve. Prise d’une rage profonde, mélanger ce qu’on peut appeler un « mal être », je viens lui offrir une série de coup de pieds dans le ventre et les côtes. Et ce, de bon cœur. Et c’est lorsque je viens a repensé une nouvelle fois à Elle, que mes coups redoublent, et tout ça au fur et a mesure que mes propres douleurs et cauchemars viennent m’envahir. Dégout profond pour eux, haine sans limite.

Puis je m’arrête, crachant sur son corps. Tu ne méritais que ça. Le cœur battant à tout rompre, les larmes roulant sans pouvoir s’arrêter, la nausée au bord des lèvres, je me retourne. Sauf qu’ici, je sens mon muscle cardiaque loupé un battement. Je me retrouve face à face avec un colosse d’au moins deux mètres, et tout en muscle. Si en me levant ce matin, j’avais envie de sentir le danger me frôler, je crois que là, je viens d’y mettre les deux pieds dedans.

Est-ce toi le nouveau Loup, venu mordre la gorge de l’Agneau au Clair de Lune ?
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Simon Blend
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Simon Blend


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MessageSujet: Re: Est-ce toi le Nouveau Loup? [PV SIMON]   Est-ce toi le Nouveau Loup? [PV SIMON] Icon_minitimeVen 23 Jan - 17:39

[désolé pour le retard]

C'est un matin comme les autres, je me réveille et pense tout de suite à m'étirer. Le mobilier de cette chambre n'est vraiment pas fait pour moi. Comme d'habitude, ma grandeur devient encore un problème, personne n'a pensé aux grandes tailles. L'armée m'avait fourni un lit à ma mesure, ici, il faut que je fasse une demande au grand patron. C'est la première chose que je ne vais pas gêner d'exécuter. Ras le bol de vivre à la manière des nains.

5 heures du matin, je m'assoie sur mon lit. On ne perd pas des années de manies soldatesques à être debout aux aurores. Mes doigts ébouriffent ces cheveux devenus trop longs par la flemme et surtout le rejet de ce temps révolu. Ca finis de me réveiller, je peux maintenant me lever. La seule chose qui me fera du bien c'est une bonne douche tiède, presque froide. J'adore, moi fêlé, affirmatif, on le dit et franchement je n'en ai rien à foutre. C'est juste qu'on ne me comprend pas. Mes habitudes, mes manières, toutes réfléchies, tous venants de mon ancien métier. Qu'importe ça ne m'empêche pas de dormir. J'enfile mon pantalon par-dessus mon caleçon et je suis prêt à filer via la salle d'eau. L'autre gardien, ou plutôt gardienne dort encore, ce qui ne m'empêche pas de fermer la porte, un peu brutalement, désolé jeune fille. Comment peut on mettre un homme avec une femme dans la même chambre, ils ont envi que l'on fasse des p'tits ou quoi ? Un élevage dans l'enceinte, c'est une bonne trouvaille qui ne m'intéresse pas plus que ça.
Le jet coule sur ma peau, la tête dessous, les mains posées à plat sur le carrelage, je bouge plus. C'est froid, c'est bon, j'aime les réveils vifs, ne jamais faire dans la chochotte. La mousse parfume mon corps que je frotte avec vigueur, et fermeté.

Après un séchage rapide, je revêts mon pantalon kaki, mes éternels rangers et un tee-shirt blanc sans manches. Une tenue adéquate pour ce boulot qui est de même pour moi.rasé de près, et en pleine forme, je pourrais en abattre des tonnes. Enfin ici, ça ne devrait pas être trop compliqué.
Peu de temps plus tard, j'inspecte les couloirs qui m'ont été adjugés. Les mains dans les poches, c'est avec une nonchalance qui m'est peu commune que je déambule sans un but précis. Qui aurait pu croire qu'à un tournant je tomberais sur ce qui allait devenir une excellente matinée, que je pourrais enfin me dérouiller les muscles? Ce n'est pas habituel de tomber sur deux personnes qui se tabassent, et qu'une jeune fille prend le dessus sur un gardien. J'attends de voir jusqu'où elle ira, je croise les bras sur ma poitrine et je m'appuie contre le mur en regardant la scène avec un certain intérêt. Elle n'y va pas par quatre chemins, une vraie furie, j'aime ça chez une femme. Sauf que c'est une détenue, et pas de ça ici mademoiselle. Un léger sourire s'étire sur mes lèvres, je le dis qu'il va falloir que je la corrige, que c'est dommage pour elle. Enfin tout ce tintouin pour qu'au final se dire que c'est mon jour de chance.

Bon maintenant ça suffit, il en a assez pris comme ça. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, il se peut que se soit la faute du type, mais elle n'aurait jamais du faire ça. C'est une grave erreur de cogner sur un gardien. Je m'avance donc vers elle, mon intention étant de la prendre sur le fait.
Je stoppe à deux pas d'elle, elle est vraiment minuscule ou c'est moi qui suis trop grand. Les mains sur les hanches, je la toise. Sans doute a-t-elle sentit une présence, elle se tourne vers moi, lève la tête, surprise. La pauvre, elle pleure, je ne savais pas qu'on pouvait faire ça en sonnant quelqu'un. Levant un doigt dans sa direction, je le fais bouger de droite à gauche en faisant de même pour ma tête. On est en phase vous ne croyez pas?

-Tss, tss, Tu viens de commettre un délit très grave. On ne passe pas ses nerfs sur un gardien, même si ça fait du bien. Je vais devoir corriger tes défauts.

Sans perdre de temps en explication, d'ailleurs les justifications n'étaient pas vraiment nécessaire, je l'empoigne par les cheveux et l'emmène avec moi. La première chose que je me suis aperçu dans les plans de ce château c'est cette question de question. Le mieux était d'aller voir par soi-même, ce que je fis avec un certain intérêt. Plus qu'un nom c'est une pièce qui ne demande que ça, les réponses doivent pleuvoir à foisons si c'est fait avec efficacité.
Ma découverte faite, je peux à présent mis rendre. Ne pensez pas que je n'attends que ça, mais je n'ai pas besoin d'y me remémorer le chemin à prendre, c'est comme si je l'avais visité deux fois. D'abords les escaliers qu'il faut descendre pour ce retrouver dans les sous-sols, ou plutôt oubliettes comme à l'époque des chevaliers. Quand on regarde bien l'endroit on se dit tout de suite qu'il est très agréable de se trouver du bon coté. L'air est vicié, froid, humide, tout le contraire de ce que j'ai vécu auparavant, moi qui n'avait connu que la chaleur et les tempêtes de sable. Cela dit, je ne suis pas contre cette ambiance, cela me rappelle les interrogatoires dans les vielles maisons en ruine qu'on avait transformée en QG.

je siffle une vielle "chanson" de fantassin, elle est entrainante, un bon brin paillarde.

Ma "victime" me suit toujours aussi docilement, elle ne perdra que quelques touffes de cheveux, rien de bien méchant. Ca me manquait les cheveux longs, tordre un bras d'une femme au premier contact ne me disait rien, plus tard peut être. Avec force et impatience, j'ouvre la porte de la "Question", elle fait un grand bruit quand elle rencontre le mur. J'espère que je ne l'ai pas fait sortir de ses gongs. Bref, j'envoie valser ma "promise" à l'intérieur de la salle, même si elle tombe lourdement sur le sol sale je n'y prends pas garde. Tout ceci n'est qu'un début, autant qu'elle le comprenne maintenant.
Ce n'est parce que je me fous de tout que je n'ai pas besoin d'un peu d'intimité. La porte se ferme comme elle s'est ouverte, puis je me tourne vers elle. Effectivement, elle a du faire un vol-plané, elle git là ou je l'ai laissé.

-A nous deux …

Je lui souris quand je m'avance vers elle, bon, je ne suis pas de ceux qui fricote avec tout le monde, ni ne souris par amabilité, et courtoisie. Ces mots sont pas de ceux que j'emplois, j'excelle plus dans des goujateries, la froideur et la brutalité. Bien que parfois il m'arrive d'être indulgent. Passons, mes mains doivent s'occuper un peu, je déteste être rouillé.
Arrivé à son niveau, je presse ma godasse sur sa tête. Calée entre ma semelle et le sol, je lui ôte toute envie de bouger sinon je lui écraserais sa face. C'est un bon sujet en la regardant dans cette position, je crois que l'envi de me faire plaisir se fait ressentir. Flegmatique, je me penche et l'agrippe violemment par le revers de sa veste, et la fait levé à mon niveau. Nous sommes à présent les yeux dans les yeux, il me semble que ses pieds ne touchent plus terre.


-Alors on veut se faire un gardien, et si tu jouais un peu avec moi, hein ? … Mais c'est moi qui commence !

Une nouvelle fois, je la balance dans les airs en la maintenant toujours pour qu'elle atterrisse directement sur le seul mobilier de la pièce, d'une chaleur plus que douteuse.

J'entends le son mat du choc d'un corps contre le bois.

J'hausse les épaules, je souris. Bizarre c'est la deuxième fois en à peine dix minutes. Je dois vraiment m'amuser, et elle ?
Je ne crois pas, elle n'est pas là pour ça. Je suis le grand méchant loup qui va, par devoir, mettre une correction au méchant petit agneau.
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