Lord Adel Sinclair

Dossier médical

Nom & Prénom - Sinclair, Adel Ladislaz Brett
Sexe - Masculin voyons !
Âge - 29 ans
Traits physiques -

En un mot ? Noble. Il n'y a pas à dire mille ans de sélection soigneusement arrangée laisse des traces sur le physique. Ou l'attitude. Car plus que mes traits physiques qui sont beaux, à la limite du moyen d'ailleurs, c'est ma manière entière de me tenir qui me confère ma prestance habituelle. Enlevez d'ailleurs cette attitude et vous vous retrouverez avec un homme peu corpulent, peu physique, peu grand, plus habitué à tenir sur une chaise en train de signer des contrats qu'à courir le marathon. Par ailleurs, comme j'ai 29 ans, la pleine force de l'âge et j'ai dû m'endurcir un peu durant la préventive, ce qui fait que je suis un poil plus résistant qu'avant mais dans les limites aristocratiques tout de même.

Mes mains sont relativement petites, ce fut un désastre lorsqu'on essaya de m'enseigner le piano. Et elles sont souvent glacées, mauvaise circulation. La sélection laisse également des tares héréditaires.

Quant à mon visage, et bien, il est bien dessiné sauf le menton que je ne trouve pas assez masculin, trop rond pas assez carré. Mes lèvres ? C'est malheureusement ce que j'aime le moins chez moi. Un comble tout de même ! Moi ? Mal m'aimer ? A peine croyable mais pourtant véridique. Je n'aime pas mes lèvres. Je les trouve trop rouges et trop charnues. Même si Amy m'a dit que cette impression est seulement due à mes yeux, qu'il suffit que je les ferme pour qu'on oublie le contraste. Mais n'ayant jamais réussi à regarder mon reflet dans la glace les yeux fermés, j'ai du mal à me départir de cette sensation. Mes yeux sont effectivement bleus. D'un de ces bleu roi transperçant et transcendant. Autour de mon oeil droit on aperçoit ce que j'appelle des tâches de lait. Ces tâches presque blanches contrastent sur le reste de ma peau et de loin, font croire que je porte une cicatrice. J'ai appris à les aimer avec le temps.

Enfin mes cheveux sont presque blancs, plutôt blonds. Je les laisse généralement assez long mais j'ignore si je pourrais les garder ainsi : quelle sera la coupe réglementaire ?

Ah oui ! A mon oreille droite également, une boucle d'oreille. Il s'agit d'une perle qui nous a été offert dans le passé par sa majesté la Reine en remerciement de notre fidélité. Elle se transmet maintenant de chef de famille en chef de famille.

Taille - 1 m 68. Seul le fait que je me tienne toujours droit donne l'impression que je mesure bien dix centimètre de plus.
Poids - 72 kilos
Maladie ou handicap physique - N'ais je pas dit que j'avais quelques tares? A cause de mon pedigree ou de ma vie d'ailleurs. Je fais une allergie sévère à l'arachide. J'en ai par ailleurs développé la trouille des cacahuètes. Idiot mais j'ai failli mourir lorsque je me suis découvert cette allergie après avoir mangé une poignée de ces amuse gueules. Je souffre également de dacryocystite. Parfois douloureux et me rendant fiévreux, la principale conséquence est désormais que mes larmes coulent très facilement. Parfois utile souvent désavantageux, je remercie infiniment et ironiquement les drogues que m'ont injecté la famille.

Autres - Mes chevilles sont à toutes épreuves, j'ai plusieurs fois été blessés lors de mes entraînements d'aviron et de boxe. Les séquelles ne sont qu'internes.

Dossier psychologique

Qualités - Je suis moi. Je les ai toutes. Mais plus particulièrement certaines que je vais vous citer. Premièrement je suis un génie financier. Les chiffres, les mystères de la bourse n'ont plus aucun secret pour moi. Même les mauvaises langues sont forcées d'admettre cela. Ensuite, comme j'ai reçu une éducation des plus sévère et complètes, je maîtrise l'art de la politique, de la manipulation, le droit et plusieurs langues vivantes (comme l'anglais, le français, l'espéranto, le suédois, l'espagnol, le russe et l'allemand) ainsi que le latin et le grec ancien. Je maîtrise également la boxe et quelques techniques du combat de rue que j'ai appris en préventive. Apprendre vite et bien est presque inscrite dans mes gènes. Une de mes qualités : je suis décidé, lorsque j'ai quelque chose en tête, rien ne m'arrêtera, les autres doivent s'écarter ou se soumettre. Je travaille jusqu'à temps que se réalise mon objectif. Je sais très bien qu'elles sont mes priorités. Je sais très bien mentir et j'ai même assez d'imagination.

Défauts - Egocentrique ? Pas vraiment. Mais je ne suis pas n'importe qui. Hautain, altier, fier, orgueilleux, sont des termes qui sont souvent utilisé pour me décrire. Mais ce ne sont que des gueux jaloux et qui ne méritent même pas que je pose un regard sur eux. D'une manière générale, les autres ont tord et moi raison. S'ils n'aiment pas, qu'ils s'inclinent.

Je suis très directif et les choses doivent être faite convenablement suivant les règles. Mes règles si celles de l'Etat sont erronées. Il vaut mieux se soumettre ou se préparer à pire. Je ne transige que très rarement et uniquement pour la diplomatie en vue d'atteindre un but plus important. Certaines mauvaises langues disent que je suis étroit d'esprit. Ce sont elles qui ne savent pas où doit s'arrêter les choses correctes. Un autre défaut : je ne me connaît pas très bien moi-même. Il m'arrive à posteriori d'avoir des réactions dont je ne me serais pas douté. Cela arrive surtout concernant les raisons de ma colère. J'essaie d'être calme mais il m'arrive (trop) de m'énerver.

On dit de moi que je veux toujours avoir le dernier mot. Ce n'est pas tout à fait vrai : il arrive que je ne réponde pas, ou du moins seulement pas un mépris grandissant.

Enfin, certaines partisanes de la féminité disent que je suis machiste. C'est absolument faux ! Je suis seulement galant et je prend donc garde comme il se doit à ces jolies choses qui nous permettent d'avoir de la descendance et un peu de plaisir.

Aime - J'aime Amy mais si elle est morte, moi bien évidemment, j'apprécie la poésie et les langues. J'aime également l'Angleterre. Gare à ceux qui se permettent de mauvaises réflexions ! J'apprécie la bonne chère, le bon vin et les voitures de sport. Aussi étrange que cela puisse paraître, mis à part l'assassinat d'Amy, j'aimais ma vie. J'essaie de m'intéresser à tout.

N'aime pas - J'abhorre qu'on me prenne ou qu'on me traite comme ce que je ne suis pas : une personnalité plus qu'importante qui doit être respectée. Je déteste l'aviron, je n'ai que la trouille de me noyer. Je ne regarde pas la télé, cela me semble un loisir pour gueux. Je n'aime pas non plus l'idée qu'en ce moment, c'est conseil qui dirige la famille, conseil que je déteste également. Je déteste qu'on me donne des ordres (c'est moi qui les donne, non ?) même si n'oublions pas, je suis également diplomate lorsque je poursuis un objectif plus important. Je déteste qu'on me demande de faire quelque chose qui ne soit pas de mon rang.

Comportement avec les gens - mon comportement avec les gens est directement induit par l'objectif que j'ai avec eux. Suivant comment ils peuvent me servir. Mais d'une manière générale, j'ai été élevé pour la politique, je ne fuis donc pas les contacts, sauf lorsque de temps à autres il me prend une envie de solitude.

Maladie ou handicap mental - On peut rappeler ici que j'ai 'peur' des cacahuètes et également j'ai peur de la suffocation, l'idée de mourir noyé ou asphyxié m'est insupportable. Comment serais-je si cela se réalise ? Je n'en ai aucune idée et je ne tiens pas à l'apprendre.

Tics - J'hausse tellement le sourcil que l'on ne peut qu'avouer que c'est un tic. Moi-même je le dis, c'est pour vous dire !

Passé -

Mon passé ? Mon passé est si compliqué mais si simple à la fois. Pour vous le narrer remontons au début. Non pas jusqu'à Eve ni Adam. Quoique, je suis presque aussi important qu'eux.

Je suis né au Royaume-Uni dans le comté du West Midlands près de Birmingham dans le château familial. Pourquoi là et non pas à l'hôpital ? J'étais peut-être l'héritier de la famille, et tout héritier naît par tradition sur ses terres. Etant un mâle je fus effectivement héritier de la famille et mes parents ne virent pas la raison de procréer une fois encore. J'étais fils unique, seul dans une maison pleine de monde et vide de sentiments affectueux. Mon père, Lord Henry Sinclair, gérait les terres et la fortune de la famille tandis que ma mère, Sarah, gérait sa réputation. Pour ma part, avant mon entrée au collège, je fus élevé par des gouvernantes et éduqué par des précepteurs particuliers. Je fus ensuite envoyé à mes onze dans une école privée, l'une des plus renommées du royaume. Puis j'entrais finalement avec les honneurs à Oxford, première de mes écoles mixtes. Là, ce fut la révélation : j'y rencontrais Amy. Ce n'était pas un coup de foudre, l'image est trop classique, trop banale. C'était autre chose, nous n'étions pas fait l'un pour l'autre, nous étions l'autre. D'un seul regard nous pouvions discuter de philosophie, d'un seul souffle nous comprenions les mystères du monde. Mais cette liaison était vue d'un mauvais oeil par la Famille.

Si j'écris le terme famille avec un F majuscule, il ne s'agit pas là d'une erreur d'orthographe, pour qui me prenez-vous ? Il s'agit plus d'un concept. Nous étions parmi les plus vieux noms d'Europe et chaque chef de Famille avait pour charge de le transmettre, lui, notre patrimoine, nos titres et nos terres. Le chef de famille était aidé d'un conseil de soixante membres parmi les plus influents des Sinclair ou de personnalité importantes et nécessaires. Lorsque j'y annonçais que j'allais me fiancer avec Amy, cela fit un tollé. En tant qu'héritier, je devais avoir une femme qui m'aiderait dans ma tâche et ne dissoudrait pas notre sang. Ils m'avaient choisi dès mes cinq ans, une de mes cousines éloignée. Je n'avais aucune envie de me marier avec Grace : elle me semblait plus comme une soeur que comme une femme, et l'inceste était une insulte à Dieu. Mon argument ne fut reçu et je quittais le conseil dans un état de rage que je ne soupçonnait pas jusqu'à lors. Amy devint ma femme devant Dieu la semaine suivante. Nous avions vingt quatre ans et nous étions majeurs.

Deux semaines plus tard, alors que je rentrais dans notre appartement, je vis Amy, la gorge ensanglantée, étendue sur le sol entourée par deux hommes. Le premier se tourna vers moi. Je le reconnu, il se nommait Richard et avait été l'un des membres les moins favorable à ma décision. Je restais à contempler la scène, complètement tétanisé. J'entendis sa voix retentir :

"Voilà Adel, comme ça, tu ne t'éloignera pas de la famille.
- Richard... C'était ma femme !
- Nous t'avions dit de ne pas te marier avec elle. Mais maintenant le problème est réglé.
- Pourquoi ? Comment ? 'J’avais la voix cassée
- Le conseil a prononcé la sentence.
- Quoi ? Combien ?
- Tous. Oublie-la Adel. Grace t'attend depuis vingt ans."

Et je le vis décocher un coup de pied à ma bien aimée. Je cru l'entendre prononcer mon nom et voir une lueur dans ses pupilles s'éteindre. Je me jetais vers elle, espérant follement que je pouvais la sauver. Mais Richard et son acolyte m'attrapèrent et avant que je ne puisse me dégager, je sentis une piqûre dans mon cou. Le monde devant moi noircissait et je m'écroulais regardant le visage morbide de mon autre moi-même. La scène devenait floue. Mon univers le resta durant six mois. Durant six mois je fus drogué. Mon anniversaire se passait une autre semaine après l'assassinat. Je devais prendre officiellement le contrôle de la famille sous la tutelle de mon père et du conseil. Ils savaient pertinemment que je n'aurais pas accepté cela. Durant six mois mon esprit fut emprisonné dans une prison chimique. Une fois, je repris conscience, c'était au beau milieu d'un conseil d'administration d'une des entreprises que je détenais désormais. Mais bien vite, on me drogua à nouveau. Il me fallu six mois pour que mon corps s'habitue et combatte la drogue.

Ce matin là, le château n'était peuplé que des domestiques. Ils étaient ignorants de la situation et ce fut l'erreur de mes géniteurs. Ces employés m'aidèrent à me sortir de cet état semi comateux qui me torturait. Certes, ils ne me firent qu'un café mais comme j'ignorais et j'ignore encore comment en faire un, je leur en fus extrêmement gré. Le lendemain, un visiteur impromptu s'annonça. Richard. J'ordonnais qu'on le fasse entrer puis les congédiait. Je menais ainsi seul Richard jusqu'aux cachots. C'était l'avantage lorsque le manoir était aussi millénaire que la famille. Je haïssais cette bête, je ne pouvais plus le qualifier d'homme et pourtant ce fut l'un des plus chanceux. Ce fut le premier être que je torturais. J'étais trop inexpériencé et il mourut rapidement. Je décidais alors de faire subir à chacun des membres du conseil la sentence qu'ils avaient voté à l'encontre d'Amy. Oncles, tantes, grands parents, cousins, neveux, père et mère. Tous mourraient. Je torturais systématiquement les hommes et je laissais le choix de la mort aux femmes. Les vingt premiers furent faciles. La suite s'avéra plus ardue. Mon génie financier qui me servait à faire prospérer mon empire, me servit également à payer des informateurs. J'ignorais l'identité de beaucoup de membres, leur localisation ou simplement, il me fallait désormais faire attention à ne pas laisser la police faire un lien entre eux et moi. OU tout du moins, le moins possible. En effet, plusieurs fois des policiers vinrent mais peu continuèrent leur enquête. Aucun à vrai dire. Les ordres émanaient d'en haut : moi.

Après localisation, certaines personnes étaient faciles d'accès. L'une vraiment me donna du fil à retordre. Il s'agissait d'un parent éloigné sous la protection d'un dictateur africain. Un dictateur qui avait la malchance pour moi d'être dans un gouvernement stable dû à un peuple paisible et à peu près prospère. Je ne pourrais l'atteindre que si le chef d'état tombait. Malgré mes habilités, je me savais incapable de mettre à exécution le plan le moins risqué pour moi, aussi j'engageais le meilleur hacker qui puisse exister. Tandis que de mon côté, je m'arrangeais pour déstabiliser la monnaie de ce pays, lui falsifia les comptes. Au bout de trois mois, l'Etat, les entreprises publiques et 90 % des entreprises privées déclaraient cessation de paiement et licenciait leur personnel. La pauvreté se répandit, des insurrections commencèrent, une guerre civile se mit en place, des vieilles rivalités furent déterrées, des milliers de morts se produisirent pendant que des centaines de familles de réfugiés marchaient sur les routes. J'attendais mon heure et le gouvernement tomba. Je pris un billet d'avion pour l'Etat voisin où je savais qu'irait se réfugier ce parent. Il disparu officiellement de la circulation. Officieusement, il mis 27 heures à disparaître. Ma technique s'était améliorée et ma haine ne faiblissait pas. Je retournais en Angleterre après avoir au passage décroché un contrat dans ce pays ce qui me permettait d'avoir un alibi et je continuais ma vendetta.

Tout se passait bien ou presque. J'appris qu'une enquête avait été ouverte par l'ONU sur les événements que j'avais provoqué. Je connaissais le conseiller permanent du royaume uni. Malheureusement, je n'avais pas le même pouvoir au niveau international que national. Je pensais être à peu près à l'abri lorsqu'il s'avéra que ce maudit hacker avait laissé une trace qui permit de remonter jusqu'à lui et ensuite jusqu'à moi. Je fus arrêté et tous les dossiers ressortis. Après quelques mois de prison préventive, je fus emmené à la cour pénale internationale de la Haye et condamné à perpétuité. Retenu en prison sans que je ne puisse terminer ma vengeance. Cette prison ne me verra pas mourir.

Autres -

Croyant (et surtout quand ça l'arrange) mais peu pratiquant
Objectif : s'évader, continuer sa vengeance et reprendre le contrôle de la famille

Dossier criminel

Crime(s) commit(s) - 48 meurtres dont 32 avec tortures ; crime contre la paix
Matricule - 000 002
Rang - Maître gentleman
No. de cellule -
Personnage sur l'avatar - aucune idée

J'aime beaucoup le style d'écrite, tu es vachement crédible et ça me plait beaucoup. Par contre, visiblement, tu as écrit ton passé un peu vite et je trouve que c'est domage. L'histoire par d'ailleur pas mal en vrille et surtout en gros bill...

Mais je peux parler... -_-"

Donc, tu es validé

Tu seras dans la cellule 6.

Bon jeu.

Chouette un noble *aime bien faire chier les nobles... question d'éducation*

Vite, c'est sur >.< j'avais mis plein de temps pour l'écrire et en revérifiant les données sur wiki j'ai pas fait gaffe, j'ai oublier de changer d'onglet. >.< Donc j'ai perdu deux heures d'écriture d'histoire, j'ai vite recopié.

Par contre, je suis d'accord pour le trip de l'histoire. XD Mais je t'avoue que j'étais inspiré... ^^'

Merci beaucoup !

_-_-_-

merci à tous pour la bienvenue. ^^

Bienvenue!
Impressionné par l'histoire, vraiment intéressante!
Bonne chance parmi nous

Merci Carl ! ^^



Qu'est ce que j'aimerai me refaire un sujet avec toi tout de même !

Bienvenue dans notre charmante demeure !

C'est à moi que tu parles Lord Adel? xD
J'ai un petit problème de rp ...
Mais si tu es capable de me sortir de ça ... je dis pas non

Tu es qui? xD

Merci bien Miss Payne. ^^

(j'avais pas vu qu'il y avait une réponse. ^^')

Ah, Carl... Mon âme a son secret, ma vie a son mystère...