Mikail Edakrov

Dossier médical

Nom
& Prénom
EDAKROV Mikail
Sexe
hmmm... Masculin ?
Âge
20ans depuis quelques
jours...
Traits physiques
Je dois vraiment remplir ça ? Vous le verrez bien en m'voyant, non ? … Bon okay... Alors, je suis brun, je mesure 1m84 et je dois peser dans les 70kgs grand maximum ; ça vous va ? Non ? … Bon allez, je vous sors le grand jeu... On va commencer par le haut : j'ai des cheveux très doux si vous voulez les toucher. D'un noir de jais, je tiens ça de mon père, ainsi que mes yeux très foncés, quasiment noirs eux aussi en fait. C'est d'ailleurs les seuls caractéristiques faciales que j'ai pris de mon père ; j'ai le visage au traits très fins, comme ma mère, si ce n'est que ma machoire est plus carrée...Je suis assez carré d'épaules aussi tant qu'on en parle. Je ne suis certes pas « mastoc » comme certaines montagnes de muscles peuvent l'être, mais vous êtes priez de ne pas juger de mes capacités physiques sur la simple apparence, j'ai pratiqué bon nombres de sports étant plus jeune, y compris le judo et le kendo... Ah, et tant qu'on parle du physique je tiens à mettre les choses au clair,
je n'aime pas du tout qu'on regarde mes cicatrices, alors pour tuer dans l'œuf toutes ces questions qui vous brulent les lèvres, celle sur mon ventre est due à un accident de voiture, et l'origine de celle sur mon visage ne vous regarde en aucun cas, c'est clair ? On peut passer à la suite maintenant ?
Taille
1m84 ; j'viens de vous le dire...
Poids
A peine 70kg normalement. … Bon d'accord, ta balance elle marque 72 ; mais elle à un soucis...
Maladie ou handicap physique
Aucun connu
Autres
Non tu n'en sauras pas plus sur ma cicatrice... J'ai dit non... Bon alors écoute, tu commences à me gonfler sévère, quand je dit non, c'est non ; okay ? …*soupir* Je t'ai dit non, tu arrêtes oui avec ça ? ... PUTAIN MAIS DEGAGEZ-LE DE LA OU JE LE CREVE CET ENFOIRE !

Dossier
psychologique

Qualités
Qu'est-ce qu'une qualité au fond, sinon un défaut exprimé avec modération ? « Gentil » est une qualité, « Trop gentil » un défaut ; vous voyez ce que je veux dire ? Par conséquent je pense que dans cette partie je ne peut mettre que les traits de mon caractère que JE juge comme qualité, aussi vous allez retrouvez ici des traits que vous ne jugerez pas comme tels ; mais hey, c'est MES qualités, pas les vôtres... (au fait, j'vous ai pas épargné toute cette réflexion sur les qualités et les défauts dans la partie défaut parce que j'vous aime bien, juste parce que j'avais la flemme de tout réécrire dans cette partie là aussi...)

Bon alors, en qualités, qu'est-ce que j'ai ? … J'dirais que je sais être à l'écoute des autres, pour autant qu'ils m'intéressent un minimum à la base... Ah, et j'ai aussi l'avantage de n'avoir aucun préjugé. Je suis d'un naturel calme et serein, même s'il m'arrive de temps en temps de sortir de mes gonds... J'aime pas les gens hyper-excités qui sautent partout et parlent sans arrêt, ils me fatiguent ! Je vous prie de croire que je suis loin d'être un imbécile, et sachez juste que si je ne parle pas beaucoup, je pense énormément... Que dire d'autre sinon ? Ah oui ; je ne juge absolument personne sans connaître soit le passé, soit les motivations des gens... Je pense que c'est une qualité, oui...
Défauts
J'suis trop gentil ! La preuve, j'vous ai épargné mon speech sur les qualités et les défauts ! Non, sans rire ; mon plus gros défaut ? Je ne supporte pas qu'on me juge. Je ne juge personne sans connaître ; et comme personne ne me connait, personne ne sait vraiment par quoi j'en suis passé, merci de ne pas me juger, okay ? Ensuite, je dirais que je n'aime pas beaucoup quand on ne m'écoute pas. Je fais rarement des commentaires, mais quand j'en fait, ils sont généralement mûrement réfléchis et représentent la meilleure solution, à condition qu'on s'y conforme, donc quand je dis quelque chose, on m'écoute, et on fais pas de commentaires, sauf si c'est pour proposer une meilleure idée, d'accord ? Mais rassurez vous ; généralement les gens n'ont pas besoin de mes conseils, ils se débrouillent sans... Mais quand on demande mon avis, on est prié de l'écouter, c'est tout...
Aime
J'aime, j'aime, j'aime quoi moi ? J'aime contrôler ; j'aime savoir. J'aime quand les choses son sous contrôle, j'aime quand tout se passe bien. J'aime manipuler aussi, sinon ça sert à quoi de savoir, hein ? Le savoir, c'est le pouvoir ; ne l'oubliez pas... (et ne croyez pas que vous dire que j'aime contrôler les gens est une preuve de stupidité, je vous le dis juste car ça me donne un challenge en plus... J'aime les défis...)
N'aime pas
J'aime pas quand tout va de travers, que plus personne ne contrôle rien... Sauf bien sur si c'est moi qui avait prévu ça, dans ce cas, j'aime bien... Mais en même temps, dans ce cas, ya quelqu'un qui contrôle ; moi, donc c'est pas un cas ou personne ne contrôle rien... Sinon j'aime pas quand les gens ne m'écoutent pas, j'aime encore moins quand ils tournent autour du pot, a chercher leurs mots ; ça m'agace, mais ça m'agace !
Comportement avec les gens
NOTE : Pour des raisons inconnues, le détenu n'a pas rempli cette partie de la fiche ; par conséquent nous avons consigné ici les commentaires de ses précédents gardiens et du psychologue qu'il voyait dans l'établissement pénitentiaire où il était incarcéré précédemment.
Mikail est une personne adoptant un profil bas en présence d'autres détenus ou de gardiens. Il ne cherche de crosse à personne, il reste dans l'ombre. Tout le monde à un moment finit par avoir entendu parler de lui ; il fait son bonhomme de chemin socialement parlant ; et en moins de 2 mois s'intègre parfaitement à un groupe et en devient la tête pensante, mais sans jamais s'afficher ; le pouvoir derrière le trône.
Mikail était et sera toujours un numéro 2. Il est celui qui souffle les bonnes décisions au numéro 1, celui qui dirige vraiment le groupe mais qui ne s'affiche pas ; par crainte de représailles ou par flemme d'assumer des
responsabilités je ne saurais le dire. Tout ce que je peux dire c'est que c'est un manipulateur chevronné malgré son jeune âge, et qu'il est pratiquement impossible de savoir à quoi il pense, ou si ce qu'il vous dit est franc ou bien si il essaye de vous manipuler. Se méfier à tout prix !
Maladie ou handicap mental
Aucun répertorié ; même si sa tendance à mentir et à manipuler les gens pourrait être catalogués
comme tels.
Tics
J'pense pas en avoir, non... Ah si, un truc qui en agace plus d'un : je fais toujours craquer mes articulations. Sans arrêt ! C'est mon truc a moi ; je fais craquer mes doigts, mes poignets, mes genoux, mon dos, mon cou... tout quoi !
Autres
J'l'ai pas assez rempli ton dossier ? Tu penses sincèrement que j'ai autre chose à y mettre ?

Dossier
criminel

Crime(s) commit(s)
Vols, Deals, Violences, Violences
aggravés, Meurtres.
Matricule
112-358
Rang
Gentil méchant garçon. A moins que ça
ne soit l'inverse...
No. de cellule
3
Personnage sur l'avatar
Mamoru Hijikata [/center]

Avant toute chose, je tenais à vous dire que je ne regrette rien de mon passé. C'est peut-être ce qui m'a amené ici, l'absence de remords ; mais qu'importe, je ne regrette rien. Après tout, pourquoi regretter mon passé ? C'est lui qui m'a forgé... Et j'aime celui que je suis, même si je n'aime pas le lieu où je suis ; celui que je suis devenu me convient... Merci.
Je suis né dans une famille normale ; nous n'étions ni très riche, ni dans le besoin. Mon père aime ma mère, et je suis l'ainé d'une fratrie composée d'un garçon (moi...) et de 2 filles, de 2 et 8 ans mes cadettes. J'habitais dans une petite ville du Sud de la France ; une petite ville où s'était installés mes grands-parents une petite quarantaine d'année avant ma naissance. Ma génération de la famille (moi, mes sœurs et mes cousins-cousines du côté de ma mère) est très liée et très proche, ce qui est du au fait que nous ayons tous grandit dans cette petite ville. Et oui, nous avons tous grandit dans la même ville, ma mère et ses frères et sœurs (2 de chaque...) ayant beaucoup de mal à couper le cordon avec leurs parents, au point même de rester dans le même village (oui parce que je dis « ville » depuis le début pour nous donner un peu d'importance, mais c'est une ville de 5000 habitants... Un gros village quoi...) après avoir quitté le domicile parental, enfin bon...
Je grandit donc, bercé d'amour et de valeurs familiales importantes, mettant la famille et les liens du sang avant n'importe quoi d'autre. Je grandi heureux, je le dit sans honte aucune, j'étais bien entouré, aimé, choyé ; mais avec le temps... Je me faisais chier ! Ça aussi je le dit sans honte. Et l'avantage ; c'est que je n'étais pas le seul à me faire chier ; mes cousins les plus âgés avait déjà ressentit ce manque, cet ennui, et y avait remédié : depuis que les jumeaux ; les plus âgés de ma génération, de 8ans mes ainés étaient passés au lycée de notre ville, tout le trafic de drogue à 75km à la ronde, majoritairement du « shit » mais si on savait à qui demander, de la cocaïne et de l'hero aussi, servait à enrichir la nouvelle génération de ma famille ; et ça allait bientôt être mon tour de tuer mon ennui en enfreignant les règles, en franchissant les limites imposés, en appliquant nos lois...
J'entrait donc au lycée en sachant tout cela, en ayant prévu de faire parti du réseau. A dire vrai diriger le réseau que mes cousins avaient fondé et qu'ils dirigeaient depuis m'effrayait un peu, c'est pourquoi je fus soulagé de savoir que mon cousin le plus proche avait redoublé, et qu'il se retrouvait en classe juste après moi, en 1ère, malgré nos 3 ans de différence (ah au fait, oui, j'ai sauté une classe, mais on s'en fiche en même temps...). A 14ans donc, j'étais en phase d'apprentissage pour diriger le plus grand réseau de drogue de ma région ; et j'aimais ça... J'apprenais le nom des personnes de confiance, j'apprenais à me montrer digne envers ceux qui l'était, et impitoyable face aux autres. A 15ans j'avais brisé plus de rotules et d'épaules que n'importe qui d'autre de mon âge, en quasi-totale impunité étant donné nos contacts dans la police locale. A 16ans c'était quasiment moi qui planifiait et dirigeait les opérations ; et à 16ans et demi, quand mon cousin eu son bac et entra en université ; quand mon année de première se termina ; j'étais prêt à reprendre le flambeau, à diriger le réseau et à parfaire la formation de mon petit cousin, qui lui venait de redoubler sa seconde.
Aujourd'hui je m'en rends vraiment compte, le réseau ne s'était jamais mieux porté que durant la période où j'étais à sa tête ; si ce n'est à l'époque des jumeaux. Grâce aux contacts des différentes grandes villes où mes cousins suivaient leurs cursus, je parvenais à étendre le réseau par delà les frontières de notre département. Notre petite ville était devenue le centre névralgique du trafic de drogue dans 7 départements. Tout allait bien pour nous ; nous nous enrichissions ; je m'enrichissais ; et personne pour faire le lien entre moi et le réseau, car ma particularité était de travailler dans l'ombre ; j'étais même un simple sous-fifre dans mon propre réseau ! Cela peut vous semblait étrange, mais ainsi je protégeait ma tête et je satisfaisait ma soif d'action ; tout allait pour le mieux ! Je fêtai donc mes 17ans au sommet de ma gloire secrète, mais hélas, tout allait bientôt disparaître pour moi... Le BAC approchait ; mon départ avec, et je m'inquiétais de l'avenir du réseau une fois que je serais parti. Mon cousin était certes très fort pour diriger une équipe lors d'expédition punitive ou autre, mais je le voyait mal diriger une organisation aussi tentaculaire que notre réseau. Malheureusement, je n'avais pas le choix. Je décrochai mon BAC S mention « BIEN » sans vraiment me poser de questions ; et je parti pour l'université ; plein de craintes pour l'avenir du réseau.
Une fois là-bas, la première chose qui me frappa, ce fut les possibilités qu'offrait une telle ville. Je faisais mes études à Toulouse, dans le Sud de la France, si jamais vous connaissez ; vous vous rendez-compte de la du choc que ça a put me faire à moi qui sortait de mon petit village... Le campus lui même abritait plus d'étudiant que mon village natal ! Mais passé le premier choc, les premiers émerveillements, je m'ennuyait royalement là-bas en fait... J'avais pris goût à ma vie dans mon village, les affaires me manquaient et je n'avais pas le courage de remonter ici un réseau... Je décidais donc d'intégrer la branche de notre réseau qui était ici ; car un de mes cousins était déjà passé par ce campus ; j'y avait donc développé des contacts. Hélas ! Ce que j'y appris ne me plut guère ! Mon cousin avait laissé les affaires en abandon, ils menait ça de manière si désordonné qu'il menaçait de détruire tout ce que j'avais entrepris de bâtir ! Et durant les vacances de Février, malgré tous les efforts qu'avaient déployés nos ainés pour rattraper les erreurs de mon successeur, tout parti en éclats. Il avait fait affaire avec des gens qu'il valait mieux éviter ; car il y a des limites que nous nous étions tacitement engagés à ne pas franchir, a la base ce réseau n'étant fait que pour nous divertir. Mais eux ; étaient des professionnels, eux en avait fait leur raison de vivre... et de tuer. Leur premier avertissement fut de broyer le bras de mon cousin à l'aide d'on ne sait quelle machine. C'en était trop pour nous. Ils réclamaient la direction de Notre réseau ? Ils souhaitaient s'approprier Notre travail ? Soit ; mais pas sans en payer le prix fort !
La semaine qui suivit cet incident fut une des pires semaines de ma vie. La nuit, des combats de rues éclataient partout dans notre ville ; au matin les policiers et les habitants tentés de comprendre quelque chose au drame qui se déroulait ; mais aucune réponse ne leur fut apportée. Chacune des personnes nous ayant suivit ne serait-ce qu'un jour marchait à nos côtés pour laver l'affront qui nous avait été fait de vouloir s'approprier notre travail, notre labeur. Beaucoup de mes amis finirent à l'hôpital cette semaine là, et nombreux dans un état critique ; mais jamais je ne put aller à leur chevet. La nuit du Mercredi soir, tout bascula pour moi. Alors que nous arpentions les rues avec mon mentor et quelques hommes, nous tombâmes sur une bande ennemies, sur laquelle nous nous ruâmes. De nombreux coups furent échangés, quelques battes sortirent, des os craquèrent ; puis tout à coup, le silence se fit à mes oreilles. L'homme se tenait à quelques mètres de la bagarre ; et il tenait dans sa main un objet que j'identifiais directement : un pistolet ; braqués vers mon cousin. Ni une ni deux, j'explosai la mâchoire d'un homme qui se ruait vers moi, je me saisi de sa batte et je me ruai sur l'homme au pistolet. Un coup, il tombe à terre. Deux coups, il est inconscient. Trois coups. Il est mort. J'étais là ; à genoux, à cheval sur le corps d'un homme qui avait menacé mon cousin, et cet homme ne se relèvera jamais. Les sirènes retentissent. Je ne les entends que vaguement. J'ai tué un homme. Quelqu'un me tire par le col. Je le repousse. J'ai tué un homme. On arrête de me tirer par le col. Les sirènes se font plus proches. J'entends un crissement de pneus. On me plaque au sol ; on me passe des menottes. Un homme m'interroge, me crie dessus. Je ne l'entends même pas. J'ai tué un homme. Mon regard s'attarde sur le visage de ma victime. Je blêmis. J'ai tué un adolescent. Il ne devait pas être plus âgé que moi.
De mon interrogatoire et de mon jugement, je n'ai que très peu de souvenirs. Je sais juste que ma famille ne vient pas me voir en prison ; et que le réseau à cessé d'exister. On me juge comme un adulte ; je venais d'avoir 18ans au moment des faits ; je suis de Janvier, quelle plaie...


Cela fais maintenant 5mois que je suis incarcéré. T-H, mon compagnon de cellule est un type bien. Il ne m'a jamais demandé ce que je faisais ici. Je ne le lui ai jamais demandé ce que lui faisait ici. On en parle pas, on est là, c'est tout. La prison où ils m'ont mis est plutôt calme, et T-H est quelqu'un de respecté dans cette prison. Personne ne m'a jamais rendu visite. Aucun membre de ma famille, aucun ami, personne.


Je vais être transféré. Quelle bonne nouvelle pour fêter mes 8mois d'emprisonnement ! Il paraît qu'il vont me mettre dans une prison plus sécurisée. En même temps, une prison reste une prison, donc bon... La raison de ce transfert ? T-H avait perdu de son autorité dans la prison ; des gars ont voulu lui faire peur et lui faire comprendre qu'il ne faisait plus la loi. Tout a dégénéré. Un autre homme est mort. On ne s'attaque pas a mes amis ; je n'aime pas ça... Les os de sa nuque ont craqués bizarrement, c'est tout ce que je sais ; je ne me suis même pas rendu compte de ce que je lui faisait. Je n'éprouve aucun remords. C'était un adulte, il avait vécu ; et avait fais ses choix.


Je commence à me lasser de cette cellule d'isolement. Les matons disent que j'y suis pour garantir ma sécurité jusqu'à mon transfert. Oui, on me transfert de nouveau ; je ne sais même plus pourquoi. Tout a commencer quand l'autre abruti s'est permis de me voler la photo de ma sœur. « Partage un peu » qu'il a dit. Je ne partage pas mes sœurs. On ne touche pas à mes sœurs, surtout quand on est un gros porc en manque. La vis de mon lit était tombée 2 jours avant. Je ne sais pas pourquoi je ne l'avais pas signalé. J'ai frappé sa tête contre le montant de mon lit. Les deux sont tombés au sol. Je ne sais même plus lequel j'ai utilisé pour frapper sur l'autre. Les deux étaient plein de sang quand les matons sont arrivés...


Et hop ; un transfert de plus ! Pour une fois, j'y suis pour rien ! La prison de haute sécurité où j'étais va fermer ses portes. Je suis transféré dans une nouvelle. Enfin, ça, c'est la théorie. Avec quelques copains, on s'est dit qu'on en avait marre de la taule; pendant le transfert, on se barre... Les prisonniers (nous) sont entravés ; on les amènent jusqu'au camion qui servira pour leur transfert. Deux prisonniers frappent tout à coup les matons juste à côtés d'eux, et tout va alors très vite. Tous les prisonniers se mettent à courir dans tous les sens pour parvenir à échapper aux matons. Des coups sont échangés ; les prisonniers auraient eu le dessus si les matons n'avaient pas été aussi bien équipés... Finalement, tout rentre « dans l'ordre », tous les prisonniers sont ramenés vers le camion. Tous ? Non ; moi, je n'ai pas bougé, je me suis juste assis derrière le camion pour regarder. Je ne sais pas dans quelle prison je vais, mais une chose est sûre ; pour pouvoir en sortir, je vais devoir déclencher un beau bordel ; encore pire que celui-là... Merci les gars pour ce coup d'essai...

Bonsoiiiiir !

Tu es validé (youpi, super !). Te voilà dans la cellule 3, tu peux maintenant poster un beau rp devant les portes de la prison où un gardien viendra chercher ton perso qui a l'air super amical (ê_e).

Bon jeu !

Hola! Compatriote !


¨Bah quoi .. Faut bien saluer u_u'

Bien...venue... *se sent petit XD dans tout les sens du terme*
Bon jeu parmi nous ^^.

BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE !


Que le pouvoir du clic soit avec toi !